Du plus loin que je me souvienne, mes genoux ont accueilli mes huit enfants dans leurs apprentissages. Combien de fois ont-ils redonné du courage à un de mes petits qui préférait me lire à haute voix un passage de lecture assis sur moi; combien l’écriture devenait plus facile grimpé là-haut; combien réconfortants étaient-ils quand, sur un problème de calcul, on venait s’y réfugier?
Mes deux genoux servent encore à accueillir ma plus jeune qui me demande régulièrement de faire un exercice « sur tes genoux »…
Tout paraît plus facile dans la tendresse…
oui… tendresse et bienveillance… c’est exactement ce que je constate chez nous!
Et cela transpire dans tes lignes 😉
🙂
Petit pincement au coeur car ma grande est trop grande pour pouvoir encore travailler sur mes genoux. Heureusement ils sont toujours aptes pour consoler les petits et gros chagrins.
Et c’est cette tendresse merveilleuse autour des grands et petits chagrins qui permet de se construire…
Bonjour,
Melle J. est elle-aussi trop grande pour les genoux mais par pour les calinous .
Martine42
Ma CE2 , peut-être parce que petite dernière, est encore très câline… Comme dit ma fille aînée, elle a passé les premières années de sa vie dans les bras de l’un ou l’autre de la famille 😀