Accompagner un jeune enfant sur la route des apprentissages ressemble à la conduite manuelle d’une auto. Comme il faut apprendre à bien doser le poids sur chacune des pédales. Il faut être si attentif à ne pas trop donner de pression afin que notre enfant ne cale pas! On ne doit jamais dégoûter son enfant d’apprendre. Au contraire, nous choisissons la classe maison en désirant garder bien « vivant » son désir d’apprendre… Mais, pour l’aider à progresser, pour avancer, il faut donner un petit coup d’accélérateur, bien ténu, bien constant, toujours en douceur mais ne rien lâcher.
Comme tout ceci demande du doigté pour que l’enfant avance en gardant sa curiosité et surmonte les difficultés que lui pose les efforts à fournir dans son travail. Guider notre enfant, c’est aussi lui donner les outils qui lui permettront de construire ses savoirs pour demain. Et apprendre à travailler, parfois même quand on préfèrerait continuer de jouer, fait partie de ces précieux outils…
Comme j’aimerai avoir cette sérénité,
On sent le vécu!
Ici c’est notre première année, pour 6, et on est encore loin de ce schéma….
Avec ce blog et votre expérience, nous avons déjà une belle trame!
Merci!
Si j’ai la sérénité, je n’ai pas toujours le bon coup de pression sur la pédale et pour chaque enfant on doit « ajuster »! Chacun est différent! En ce moment ma CE1 a besoin d’un bon ajustement et je tente au fil des jours de l’amener au travail! Alors, c’est un billet qui me concerne aussi! Mais, mon seul avantage, c’est que je suis passée 7 fois par là auparavant, donc, je ne m’en fais pas, je sais que cela va s’équilibrer durant l’année! Bonne journée! Et sur votre blog, cela semble bien parti pour cette année 🙂
Ou, pas facile selon chaque enfant…! L’enthousiasme n’est pas toujours là !! Courage à toutes !!!
Oui, pour certains: un défi de susciter leur entrain devant le travail!!!